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Cycnos | Volume 29.2 - Le Méchant à l'écran. Les paradoxes de l'indispensable figure du mal
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Volume 29.2 - Le Méchant à l'écran. Les paradoxes de l'indispensable figure du mal
Sous la direction de Karine Hildenbrand et Christian Gutleben
2013
Karine Hildenbrand, Christian Gutleben : Avant-propos : Autopsie du méchant
Dominique Sipière : À quoi servent les méchants ?
I Larvé ou obscène : le pouvoir du méchant
Julien Guieu : Du tueur en série au terroriste : de quelques méchants sans visage dans le cinéma américain des années 2000
Elise Pereira Nunes : « The Filthiest People Alive » : La célébration de la déviance comme terrorisme social
Amanda Studniarek : L’anonymat du méchant
Hélène Valmary : De Smith à Schmidt : Hugo Weaving, un visage du Mal
II Esthétique et idéologie du mal contemporain
Philippe Ortoli : Profit : être au-delà
Sébastien Lefait : Le méchant après le 11 septembre : terroristes sous surveillance dans 24 et Homeland
Delphine Letort : Les « méchants » du ghetto : les dealers de Clockers (Spike Lee, 1995)
III Études de cas
Geneviève Dragon : Hidden in plain sight : les variations de points de vue dans la construction du personnage de Gus Fring dans Breaking Bad
Jacques Lefebvre : Lee Marvin, sur le fil du rasoir
Christian Viviani : Bette Davis, ou le bonheur de jouer à la « méchante »