Le deuil de l’original. Nerval, Celan et les traducteurs « im Flor »

Aurélie Moioli

Résumé :
International audience
Cet article porte sur la traduction du français et en français de Paul Celan, en amont et en aval de l’œuvre. Fait d’écart, de disjonction et de recréation, l’acte de traduire – pour Celan comme pour ses traducteurs – se pense comme une accentuation du deuil. L’attention portée à la traduction au sein du geste poétique permet de sortir le poème de sa solitude, de le lire en réseau avec d’autres écrivains (Nerval et Jean Paul) et dans la pluralité de ses traductions.
Date de publication : 2019-03-25
Type de document : Article dans une revue
Affiliation : Centre transdisciplinaire d’épistémologie de la littérature et des arts vivants (CTELA) ; Université Nice Sophia Antipolis (1965 - 2019) (UNS)-Université Côte d'Azur (UniCA)
Source : hal-04439121

Citer ce document

Aurélie Moioli, « Le deuil de l’original. Nerval, Celan et les traducteurs « im Flor » », Loxias, 2019-03-25. URL : https://hal.science/hal-04439121