La pratique de la supervision en tant que dispositif
Titre alternatif :
La pratique de la supervision en tant que dispositif: Le pulsionnel et le transfert
Résumé :
National audience
L’auteur propose une distinction entre « pensée du cadre » (renvoyant à une approche contenante) et un « effet-dispositif » (qui relève de la coupure). Cette coupure, en tant que référée à l’articulation continu/discontinu propre au pulsionnel, trouve ses effets dans le transfert dans la coupure entre agalma et objet a. Le travail de supervision appelé « analyse des pratiques » n’est donc pas de trouver des solutions à la place des intervenants ou de passer une situation à la moulinette de la théorie, mais de relancer la dimension phallique, c’est-à-dire de coupure, là où les intervenants témoignent être au plus près des effets de sidération propres à l’agalma. Ce type d’effet clinique relève précisément de ce qui s’appelle un dispositif.
Date de publication : 2011-06
Citer ce document
Frédéric Vinot, « La pratique de la supervision en tant que dispositif », Oxymoron, 2011-06. URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03650446