L’Orient-Express ou comment les entreprises du luxe capitalisent sur une marque historique dans une perspective de durabilité

Marios Sotiriadis, Véronique Mondou

Résumé :
International audience
Notre intervention analyse la façon dont les entreprises du luxe s’emparent d’une marque historique et relever le défi de la durabilité, en se concentrant sur la marque Orient-Express. Après une brève présentation du contexte (les grandes étapes du développement de l’Orient-Express) et de l’offre, on analyse les types de clientèles, le produit « croisière ferroviaire », ainsi que les expériences, leurs dimensions matérielles et immatérielles en se basant sur les approches des 4 E (Pine & Gilmore, 1998) et des 3 F (Holbrook & Hirschman, 1982). Les entreprises du luxe s’efforcent également d’élargir, d’améliorer et de diversifier leur offre afin d’atteindre un meilleur positionnement dans le marché. En même temps, comme toute autre prestataire touristique, elles ont une obligation de promouvoir un tourisme responsable, de prendre des initiatives et des actions afin de réduire leur impact sur l’environnement tout en offrant une expérience de qualité. Il s’agit de l’impératif de contribution à la durabilité, question abordée par la suite, en présentant une liste d’actions et de mesures. Il s’agit d’une opportunité (opportunisme ?) pour les opérateurs de valoriser la dimension durable de l’usage du train et une démarche pro-environnementale.
Date de publication : 2024-11-12
Type de document : Communication dans un congrès
Affiliation : Université de Ningho
Source : hal-04879062

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L’Orient-Express ou comment les entreprises du luxe capitalisent sur une marque historique dans une perspective de durabilité, 2024-11-12. URL : https://hal.science/hal-04879062